13 novembre 2014
Je suis une guerrière
Dimanche, j’allais mal, mais vraiment mal — j’en étais à m’interroger sur les probabilités de réussite d’une défenestration depuis mon 6ème étage…
Puis j’en ai eu marre d’en avoir marre : je me suis dit : Ok, on va faire comme tout le monde : au boulot ! Puisque personne ne veut devenir mon ami, autant que je fuie la réalité dans une traduction. L’avantage, c’est que ça rapporte… enfin, en théorie. Parce que, comme en France, c’est la CRISE, au point même que mon éditrice s’est barrée à la Nouvelle York, pour qui que je vais bosser, hein, moi ?
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