Cantines de malemort

Retour à Comitan : et au boulot !

Et retour, du même coup, du moustachu de l'autre jour qui a eu la gentillesse de m'attendre à la gare OCC en dépit de la grève des maîtres d'école qui n'avaient rien trouvé de mieux que de bloquer la route toute la sainte journée.

(Papa Noël tu me gâtes : j'avais dit : un avant Noël, et je n'ai pas encore atteint l'âge du Christ que déjà : pif ! paf ! et de deux !!)

Comme traduire m'épuise (si) et que la marimba ça va bien un moment : nous n'avons rien trouvé de mieux (à mon instigation bien sûr) que de faire la tournée des cantinas de mala muerte où règne une ambiance assez indescriptible (rancheras à fond les ballons et toile cirée aux couleurs flashy poisseuse de bière nonchalamment essuyée par une serveuse au rimmel douteux alors qu'un ado cuve sous sa casquette au bas de l'escalier... au rayon glaque, nos PMUs hexagonaux n'ont qu'à bien se tenir !)

Mais bon... là, je ne rigole pas (pardon : plus) : il faut vraiment que je me plonge dans les aventures de Cixi impératrice (non, rien à voir avec la belle-soeur de Maximilien)