Cinquante nuances de basané
Merci à ma perspicace lectrice qui a entrevu tout le potentiel éditorial de mes ébats torrides (quand il n'y a pas la clim) avec un... euh... un employé de la municipalité (pardon mais c'est que le P.D.G. de Pemex ne traîne pas les bars le mercredi soir).
J'imagine d'ici le récit (en français appauvri pour ne pas rebuter la ménagère) de ma fascination (?) de jeune (??) étudiante à yeux bleus, taches de rousseur et mèches qui rebiquent (Peinate, chica ! comme disait l'autre) pour un homme mûr de pouvoir (?) dont la force de volonté m'en imposerait tellement que je me lancerais avec lui dans une relation de dépendance et de soumission dont la fine (?) analyse serait poncutée (et c'est là tout l'intérêt du projet) de chinga ! Chihuahua ! Caray ! Carajo ! Pendejo ! El muy cabron ! etc. etc. etc.
Si un éditeur me lit...