ça sent le soufre...

... aux eaux thermales du parc de Villa luz, ancienne demeure d'un gouverneur du Tabasco qui luttait, avec ses brigades de chemises rouges, contre le catholicisme et... l'alcoolisme*. À l'époque où d'autres, en chemise brune...

Mais passons. 

En résumé : zou! le Tabasco, un décor champêtre, version plaine tropicale luxuriante featuring bananiers et vaches écrasés de soleil.

Et plouf! à Teapa et Tapijulapa, pour mémoire.

NB : je me suis risquée dans le Labyrinthe de la solitude -- ce qui s'approche le plus du livre que me muero por leer mais qui reste hélas encore à écrire : Les Mexicains, mode d'emploi (les séduire, les supporter)

* à en juger par l'énormité du pedo que s'était pris l'un des passagers du combi d'hier, tanguant dans ses bottes de bon matin, c'est pas gagné...