26 novembre 2013
... du latin tripalium, instrument de torture
C'est affreux, consternant...
Maintenant que j'ai réglé les détails pratiques et pris mon rythme de croisière, je dois m'avouer que j'aime ça, travailler (ce que moi j'appelle comme ça, en tout cas). Plus infamant encore : la traduction me procure une paix délicieuse et me plonge dans une sorte de torpeur euphorisante loin de mes autres sujets de préoccupation (je rempile une semaine de plus à la posada? où je crèche à Noël? et l'amour, dans tout ça? etc. etc.)
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