Trans-lis tes ratures
Cette semaine : immersion complète dans les eaux troubles de mon roman irlandais diluvien (oui je dis MON ; oui je me le suis sacrément approprié celui-là)
Mon blog va-t-il se mettre à ressembler à ces pathétiques chroniques de Translittérature, où un disciple de saint Jérôme cloîtré au-delà de la solitude entre les quatre murs de ses tâtonnements grammatico-vocabularistiques (plus re- que ré- créatifs) éprouve des joies inconnues au commun des bienheureux simples en esprit qui causent comme y pensent, par la grâce de révélations du type :
page 238 : je traduis the little helmet-head atop his cock-a-doodle-do par la petite tête casquée de son marabout-bout de ficelle et ne suis pas mécontente de ma trouvaille
Faut que je me ressaisisse : que je retourne à la vraie vie