27 juillet 2013
A la recherche d'un temps un brin moins contrariant
Ou A la recherche du contretemps perdu... Par ces pluies diluviennes (ce temps délugesque : un quasi anagramme de déguelesque : un temps à écouter du Schubert en méditant sur notre fin dernière... et acheter des tickets ZAP pour aller au ciné en centre ville) je me dis que : tout de même c'est contrariant que je ne lise jamais Proust quand il faudrait : que je découvre la jalousie de Swann trop tard pour comprendre celle de mon amant du cru 2008 ou que je plonge dans les méandres tortueux des raisonnements retors de Marcel trop tard là encore pour me méfier des névroses de celui qui me prenait pour La prisonnière... alors que je rêverais pour ma part d'un comte Mosca (ah!)
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