à la Saint-Adrien, on mange bien

Le dicton prétend en réalité que le froid revient.
Il est vrai que je dors avec une couverture depuis deux nuits mais enfin : faut pas exagérer.

Celui autour duquel je gravite partage avec Bernard Arnaut un point commun (un seul à ma connaissance... hélas !!!)  : la date de naissance.

Comme on n'a pas tous les jours 64 ans (ouf !) j'ai résolu de marquer l'événement (et de satisfaire du même coup la frange de mon lectorat soucieuse de savoir où se ravitailler la panse ; si, il paraît qu'il y en a que ça intéressent) en l'invitant au meilleur restaurant de Oaxaca : les Danzantes où le flanc au lait de chèvre à la sauce au chocolat amer et aux figues confites est tout bonnement sublime (du sublime au ridicule... il n'y a qu'une bouchée)

Las ! Ma poussée de générosité inopinée a ravivé de pénibles souvenirs enfouis sous une épaisse couche de foireuses certitudes (pléonasme). Et vas-y que je noie ma morosité dans le mezcal...

De l'usage de la bouteille comme d'un biberon ou comment surmonter son envie de chouiner en se ruinant le foie...

Comments

[steph]

OHH Marie...