Ocotlan

Son marché aux bœufs (et peut-être aussi aux herbes mais alors à la mota si j’en juge par les paires de pompes pendues aux câbles électriques) Des buey(es), des vrais, et des veaux, vaches, cochons (des buffles plutôt) traités avec un humanisme qui me conforte dans mon végétarisme.

Un fort joli couvent, tout de même, de Dominicains (d’où les peintures de chiens sur les murs ; les images, je veux dire, n’allez pas croire que…) qui a salement morflé par le passé mais abrite aujourd’hui l’œuvre d’un peintre médiocre quoique généreux donateur/ restaurateur.

Enfin : j’ai goûté au pulque. C’est frais, pétillant, léger, désaltérant ! Mais bien sûr il y en a qui ne peuvent pas s’empêcher d’y ajouter une petite goutte de mezcal…