27 juin 2012
Bologne
Une ville d'arcades, écrasée par un soleil de plomb, aux tonalités ocre, rose et orangée, aux rues étroites, parfois paisibles, le plus souvent grouillantes d'étudiants à vélo, pleine de palais et d'églises, saupoudrés d'échafaudages et qu'on m'avait assurée belle. L'est-elle? Elle possède en tout cas un patrimoine architectural d'une richesse écoeurante (c'est la native d'un bourg laid qui parle en moi). Le manque de recul sur les façades ajouté à leur décrépitude plus ou moins avancée m'a laissé une impression mitigée hier, plus enthousiaste aujourd'hui. Une chose est sûre : la densité de libraries au kilomètre carré dans le centre soutient la comparaison avec Buenos Aires.
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