Le château était trop beau

Oui je sais : ça paraît paradoxal (comme se plaindre que la mariée était trop belle) Je ne me suis pas farcie tous ces kilomètres pour souiller mes yeux de laideur mais too much is too much.

Le château d'Olite est chou comme tout :

Et bien qu'en Espagne, il est réel (et royal ; doublement real donc en spanish dans le texto) mais y a-t-il âme qui vive dans ce pueblo navarrais au milieu de nulle part ? Je commence à me le demander...

J'ai presque honte d'un tel aveu mais il y a des jours où l'envie me chatouille de passer mes (rares) loisirs à... buller. De ne plus visiter une ville après l'autre mais rester là vautrée sur le canapé, un verre à la main, à sentir le temps passer.

Ressaisis-toi Marie !!

Sinon avant il y a eu Pampelune

Et sa cathédrale que je n'ai pas visitée (je manque à mes devoirs bibendummesques : il y a des jours comme ça où j'envoie paître le guide vert : faut dire aussi que ça me court sur le haricot (en tant que traumatisée par une éducation catholique flamande) de débourser trois euros par ci et cinq par là pour entrer dans un lieu de culte de MA religion)

Bref. Il y a eu aussi le parador où mes moyens moyens de prolétaire de l'édition ne m'ont pas permis de dormir

Et une armée de géants menaçants à l'horizon :

Et sinon je rappelle aux braves qui me lisent encore que je serai de retour à Maisons pas plus tard que la semaine prochaine ! Et je ne m'en irai pas avant le 16 juin : ce qui me laissera plein de temps pour tenter d'imposer ma présence à mes fidèles lecteurs...

A bientôt donc...